Claire, de Toulon : le chemin vers la maternité après trois tentatives infructueuses de FIV

Quand l'espoir devient une stratégie

Lorsque Claire, de Toulon, a appris son diagnostic - infertilité due à une obstruction des trompes de Fallope, elle n'a pas baissé les bras. Après une laparoscopie, une trompe était absente et l'autre était obstruée. Malgré ce pronostic, Claire a continué à chercher des moyens de devenir mère.

En quelques années, elle s'est adressée à sept centres médicaux différents et a subi trois tentatives infructueuses de FIV. Mais son désir de devenir mère s'est avéré plus fort que ses déceptions. C'est alors qu'elle s'est adressée à la clinique NatuVitro, où son chemin vers la maternité a pris une nouvelle direction.

Dans notre blog, nous abordons en détail le sujet « Hydrosalpinx : impact sur la fonction reproductive de la femme », qui explique pourquoi il est important de diagnostiquer cette affection avant de procéder à une FIV et comment les méthodes modernes permettent de la traiter avec succès.

Une nouvelle approche et un travail d'équipe

Lors de la première consultation, le docteur Rebecca Begeria a étudié en détail les antécédents médicaux de la patiente et a proposé une stratégie de traitement différente des protocoles précédents. Avant de commencer la stimulation ovulatoire contrôlée, Claire et son mari ont consulté un médecin généticien. Il a été recommandé de procéder à un dépistage génétique préimplantatoire des embryons (PGT-A) afin d'exclure d'éventuelles anomalies chromosomiques et d'améliorer l'efficacité du transfert d'embryons.

Recherche de la cause des échecs précédents

Au cours d'une des étapes de l'examen, le spécialiste a découvert un facteur qui empêchait probablement l'implantation de l'embryon. Claire a été diagnostiquée avec un hydrosalpinx, une inflammation et une accumulation de liquide dans la trompe de Fallope. Il a été décidé de prélever d'abord les ovules, de procéder à leur fécondation et de faire les tests génétiques sur les embryons obtenus puis de résoudre l'hydrosalpinx avant le transfert..

Les résultats de la ponction se sont révélés encourageants : 18 follicules ont pu être prélevés, à partir desquels trois embryons de bonne qualité ont été formés. Ce fut le premier pas vers une issue favorable.

Intervention chirurgicale et nouvelle découverte

Après la stimulation, un temps de récupération était nécessaire. Un mois plus tard, Claire a subi une laparoscopie diagnostique. Il était prévu de retirer la trompe, mais pendant l'intervention, les médecins ont découvert que le problème venait d'un kyste para-ovarien, qui ressemblait à un hydrosalpinx. Ils l'ont retiré et ont réussi à garder la trompe. Ça a été un moment décisif dans le traitement : la situation a changé en faveur de la patiente.

Une étape vers laquelle elle tendait depuis des années

Six mois après l'intervention chirurgicale, un transfert d'embryon a eu lieu. Malgré le souhait du couple d'en transférer deux, le médecin a recommandé de se limiter à un seul afin de minimiser les risques. Cette décision s'est avérée judicieuse, car la grossesse a été confirmée.

La première échographie l'a confirmé : Claire attendait un garçon. Ce fut pour elle et sa famille un véritable cadeau de Noël et le symbole d'un succès tant attendu.

La force du professionnalisme et de la foi

L'histoire de Claire est un exemple de la façon dont un bon diagnostic, une approche précise et une médecine reproductive moderne peuvent redonner espoir. Chez NatuVitro, chaque cas est traité individuellement et une équipe de spécialistes accompagne les patients à chaque étape du parcours.

Si vous aspirez également à devenir parents, faites le premier pas : prenez rendez-vous pour une consultation au clinique pma NatuVitro.